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École des chartes » thèses » 2003

Un hôpital au Moyen Age : l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas de Troyes du xiiie au xve siècle

« soustenir les povres ».


Introduction

L’hôtel-Dieu Saint-Nicolas de Troyes est un établissement de taille moyenne, situé dans une ville qui joue un grand rôle durant la période médiévale. Des sources diversifiées permettent d’aborder à peu près tous les aspects de la vie de cet établissement et de dresser ainsi le portrait d’un hôtel-Dieu semblable à tant d’autres pour nombre de ses aspects, mais original de par son implantation dans une ville particulière et son plat pays. Loin d’être un simple lieu d’accueil pour les malades, il se révèle être au centre d’une économie propre. L’accomplissement de sa mission charitable le pousse en effet à chercher les revenus qui lui sont nécessaires dans différentes directions : patrimoine foncier qu’il exploite directement ou indirectement, donations faites par des particuliers… Il a donc paru judicieux d’orienter la réflexion sur les moyens dont dispose l’hôtel-Dieu pour jouer son rôle d’assistance, en présentant en premier lieu la ville qui l’abrite, ses liens avec le chapitre qui l’a fondé, son emplacement et ses bâtiments, son personnel et ses hôtes, pour ensuite montrer de quoi vit l’établissement.


Sources

L’étude de l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas s’appuie principalement sur le fonds de l’établissement ainsi que sur celui du chapitre cathédral, tous deux conservés aux archives départementales de l’Aube, qui renferment des documents de nature variée. On peut notamment signaler pour le fonds de l’hôtel-Dieu un grand nombre de donations faites en sa faveur, des documents qui concernent des conflits avec la paroisse à laquelle appartient Saint-Nicolas, des titres de propriété et des censiers, ainsi qu’un livre de comptes. Le fonds du chapitre cathédral, lui, contient un nombre important de testaments et de comptes d’exécution testamentaires de chanoines, passés en faveur de Saint-Nicolas, douze livres de comptes de l’hôpital, des délibérations capitulaires, essentielles pour comprendre le contrôle exercé par le chapitre sur Saint-Nicolas, et des pièces diverses (inventaire de biens de l’établissement, comptes de la cathédrale…). Des documents complémentaires ont été consultés dans d’autres services : les archives et la bibliothèque municipales de Troyes, la Bibliothèque nationale de France (département des manuscrits) et les Archives nationales. Une typologie des sources a été réalisée et répartit les documents consultés en trois grandes catégories : donner/recevoir, contrôler, gérer.


Chapitre préliminaire
L’hôtel-dieu dans son environnement


La ville de Troyes du xiiie  au xve  siècle.  — L’étude de tout établissement hospitalier urbain doit s’accompagner de la présentation de la ville qui l’abrite. Sont donc évoqués la prospérité médiévale de la ville de Troyes, due aux foires de Champagne et à la politique ambitieuse des comtes de Champagne, la population troyenne et ses caractéristiques sociales, le déclin de la cité à partir du xive  siècle.

L’hôtel-Dieu Saint-Nicolas et les autres maisons-Dieu de Troyes.  — Une comparaison avec les autres établissements charitables de la ville permet de mieux dégager les spécificités de l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas. Il existe en effet à Troyes un hôtel-Dieu principal : l’hôtel-Dieu le Comte, et cinq établissements de taille moindre, appelés les « petits hôpitaux », parmi lesquels figure l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas.


Première partie
La structure de l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas


Chapitre premier
La fondation et les liens avec le chapitre

L’hôtel-Dieu Saint-Nicolas est l’établissement hospitalier le plus ancien de Troyes. Dès l’évangélisation de la ville, l’évêque a dû organiser autour de la cathédrale un service d’assistance aux plus démunis, comme c’est le cas dans chaque civitas. Par la suite, les canons des conciles, la règle de Chrodegang de Metz puis les capitulaires carolingiens prescrivent aux chanoines d’établir à côté de la cathédrale un local réservé à l’accueil des pauvres. C’est dans ces prescriptions qu’il faut voir l’acte de naissance de l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas, et c’est ce qui explique les liens forts qui lient, encore à la fin du Moyen Age, l’hôtel-Dieu et le chapitre cathédral.

Le chapitre exerce en effet un contrôle sur le personnel de l’établissement : il nomme les religieux sur proposition de la communauté et est le seul à pouvoir destituer le maître et la prieure. Les chanoines effectuent régulièrement des visites au sein de l’hôtel-Dieu et y contrôlent les bonnes mœurs des religieux, qu’ils peuvent punir le cas échéant. Le chapitre joue en outre un grand rôle dans le contrôle de la gestion de l’établissement puisque le maître doit rendre annuellement les comptes de l’établissement au chapitre, et qu’il doit donner son accord avant toute transaction immobilière de l’établissement (achat, vente, mise en location).

Les chanoines font également preuve de charité envers Saint-Nicolas, comme le montrent plusieurs donations. La présence de livres de médecine dans la bibliothèque du chapitre pourrait également indiquer un intérêt particulier pour le soin des hôtes de l’établissement.

Chapitre II
L’emplacement et les bâtiments

Choix de l’emplacement.  — L’emplacement de l’hôtel-Dieu obéit naturellement à des raisons topographiques. La proximité de l’une des portes de la ville peut par exemple indiquer la volonté délibérée d’accueillir les passants. Le voisinage avec une des dérivations de la Seine est une des conditions indispensables à la bonne marche de l’établissement : la rivière joue en effet le rôle d’égout, on y fait la lessive et elle est censée purifier l’air.

Mais des raisons structurelles jouent aussi un rôle dans l’emplacement de Saint-Nicolas. La mise en place par le chapitre d’un local à destination des pauvres, devenu plus tard un véritable hôtel-Dieu, explique sa proximité avec la cathédrale. Cette proximité facilite les contacts entre chanoines cathédraux et religieux hospitaliers, comme les visites de l’hôtel-Dieu par les chanoines ou les soins à domicile prodigués aux chanoines par les sœurs.

L’appartenance à la paroisse Saint-Nizier.  — L’hôtel-Dieu est également situé sur le territoire de la paroisse Saint-Nizier. Au fil des xiiie  et xive  siècles, plusieurs conflits éclatent entre le maître de Saint-Nicolas et le curé de Saint-Nizier, ce dernier reprochant aux frères de l’établissement de célébrer des messes auxquelles assistent ses paroissiens, de leur administrer les sacrements et de les enterrer, et de toucher ainsi des droits paroissiaux qui auraient dû lui revenir. Ce conflit, dont on trouve de nombreux exemples similaires pour d’autres établissements, est réglé en 1345 par les chanoines, grâce à un compromis qui satisfait, semble-t-il, les deux parties.

Les bâtiments de l’hôtel-Dieu et leur aménagement.  — Les livres de comptes et les inventaires de biens permettent de connaître assez précisément les différents espaces de l’établissement et leur aménagement intérieur, que ce soient les lieux utilisés par les religieux (dortoirs, réfectoires, cuisines, greniers, buanderie…) ou ceux qui sont destinés aux hôtes (chambres et dortoirs, latrines…) ainsi que la chapelle. Ces bâtiments demandent un entretien régulier et de fréquentes réparations, dont il est intéressant de mesurer la place sur le budget de Saint-Nicolas.


Deuxième partie
Le fonctionnement de l’hôtel-Dieu


Chapitre premier
Le personnel de l’hôtel-dieu

Quel effectif ?  — La communauté de l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas est composée de religieux, hommes et femmes, qui suivent la règle de saint Augustin. Elle est peu importante et son effectif semble, au xive  siècle, tourner autour d’une dizaine de profès au maximum.

Le parcours des religieux.  — Tous les religieux de Saint-Nicolas n’ont pas le même statut : novices, profès et convers cohabitent. La plupart des frères profès sont prêtres. Il semble que la majorité des religieux qui font profession à Saint-Nicolas y passent le reste de leur vie, mais on trouve cependant quelques exemples de religieux qui demandent à quitter l’hôtel-Dieu ou à s’en absenter pour quelques années. Toutefois, un grand nombre de religieux, hommes ou femmes, passe plusieurs dizaines d’années dans l’établissement, ce qui laisse penser que l’âge de recrutement est bas. Peu de renseignements subsistent sur les origines socio-géographiques des frères et sœurs ; il semble cependant que la plupart viennent des environs de la ville et sont issus de milieux plutôt modestes.

Le maître et les frères.  — Les frères sont sous la responsabilité du maître, qui a pour tâche d’administrer l’hôtel-Dieu, de gérer son patrimoine foncier et de faire les comptes annuels à rendre au chapitre. Il est parfois amené à quitter Troyes pour aller régler des affaires sur les terres de l’hôtel-Dieu, pour contrôler les vendanges ou se faire régler des dettes. Les frères s’occupent aussi de la gestion de l’hôtel-Dieu mais ont également un rôle spirituel important à jouer. Ceux d’entre eux qui sont prêtres célèbrent la messe et administrent les sacrements aux hôtes.

La prieure et les sœurs.  — De façon complémentaire, les sœurs, sous la direction de la prieure, se consacrent au soin des malades et aux tâches ménagères.

Le personnel auxiliaire salarié ou pensionné.  — Le personnel auxiliaire est clerc ou laïc. Les religieux ont en effet à la fois besoin d’auxiliaires pour les assister dans leurs fonctions spirituelles (chapelains et clercs) et pour les aider dans les tâches de la vie quotidienne (chambrière, barbier, cuisinier…). Ils font en outre ponctuellement appel à des conseillers juridiques et au garde de la prévôté. Ces personnels, notamment les chapelains, ne viennent pas nécessairement des proches environs de Troyes et représentent un poste important dans le budget de l’hôtel-Dieu.

Chapitre II
L’accueil

Qui sont les hôtes de Saint-Nicolas et combien sont-ils ?  — L’effectif des hôtes qui sont accueillis à Saint-Nicolas est difficile à évaluer. Si l’on se fie au nombre de lits présents dans l’infirmerie et la salle des malades, il serait d’une quarantaine, au maximum, ce qui est honorable pour un établissement dans une ville telle que Troyes. La qualité des hôtes reçus est, par contre, un peu mieux cernée : on trouve à Saint-Nicolas à la fois des pauvres et des malades, mais aussi des passants (pèlerins par exemple), des enfants, des « rendus » (c’est-à-dire des personnes qui se donnent à l’hôtel-Dieu pour y finir leurs jours), des écoliers, et des hôtes payants, de passage à Troyes.

Les modalités de l’accueil.  — Tous ces gens sont logés dans des chambres ou des salles communes, où ils disposent de lits garnis d’une couette, d’une couverture et de coussins. Une alimentation diversifiée leur est administrée : pain et vin constituent la base des repas, mais des légumes, de la viande, des fromages, des fruits secs viennent les compléter. Les personnes les plus faibles bénéficient de soins particuliers : nourriture spécifique ou soins médicaux.


Troisième partie
Les moyens de subsistance de l’hôtel-Dieu


Chapitre premier
Un établissement propriétaire et gestionnaire

La localisation et la nature des biens immeubles.  — Deux types de biens immeubles sont à distinguer parmi les possessions de l’hôtel-Dieu. D’un côté on trouve des immeubles, situés à Troyes, de l’autre, les biens agricoles que l’hôtel-Dieu possède aux alentours de la ville. Les maisons dont l’hôtel-Dieu est propriétaire à Troyes sont réparties en plusieurs ensembles dans le quartier de la cathédrale, ensembles qui restent quasiment les mêmes entre le xiiie  et le xve  siècle, le nombre de bâtiments possédés venant seul modifier l’implantation de Saint-Nicolas. Quant aux biens agricoles, il s’agit soit de véritables exploitations, appelées « granges » et confiées à un fermier, qui regroupent élevage, céréaliculture et viticulture, soit de terres dispersées, de moindre taille. Ces biens se répartissent tout autour de Troyes, majoritairement dans un rayon de quinze kilomètres, mais parfois plus loin. L’hôtel-Dieu pratique également le bail à cheptel et dispose de surfaces assez importantes de vignes.

Les cens et les autres droits.  — Outre ses biens immeubles, l’hôtel-Dieu est propriétaire de droits tels que cens, coutumes, dîmes et terrages, qui constituent un revenu régulier complémentaire, en nature ou en argent. Les localités où il lève ces droits sont parfois les mêmes que celles où il possède des terres ou une ferme, ce qui permet de créer des centres importants d’exploitation agricole et de perception.

La politique d’acquisition et de gestion.  — Il est intéressant d’étudier la politique d’acquisition et de gestion de Saint-Nicolas. On constate ainsi que dans certaines localités apparaissent des phases d’acquisition de terres circonscrites dans le temps, et qu’un effort est fait pour que ces terres soient mitoyennes de biens déjà en possession de l’établissement, qui pratique aussi des échanges afin de se constituer un terroir plus cohérent. Une fois les biens acquis, l’hôtel-Dieu les baille à louage, à ferme, à rente ou à cens, avec des contreparties diverses. Les types de baux utilisés varient dans le temps et répondent aux nécessités de l’époque et aux besoins de l’établissement. On voit par exemple, à la fin du xve  siècle, apparaître le bail « à rente et à cens » qui vise à pallier la diminution du cens en lui ajoutant une rente.

Un gestionnaire avisé.  — L’hôtel-Dieu Saint-Nicolas veille à ce que ses locataires payent régulièrement leur loyer et n’hésite pas à les expulser s’ils ne le font pas. Les arriérés de cens sont également régulièrement réclamés. Les bornages demandés par l’établissement, ou les procès engagés pour défendre ses droits, montrent que l’hôtel-Dieu est très vigilant en ce qui concerne ses propriétés. Cependant, la période difficile de la Guerre de Cent Ans ne facilite pas la gestion de ces biens : de nombreux fermiers ont vu leurs terres dévastées par les chevauchées anglaises, des locataires ne peuvent plus payer… L’hôtel-Dieu doit alors trouver des solutions inédites pour régler ces problèmes et sait alors se montrer plus conciliant.

Les revenus des possessions de l’hôtel-Dieu et leur utilisation.  — L’hôtel-Dieu tire de ses possessions des revenus en argent et en nature au titre des loyers, redevances et autres droits qui pèsent sur ses terres. Les revenus en argent, qu’ils soient issus de loyers, de cens, de rentes ­ il est d’ailleurs très difficile de savoir comment les biens sont tenus ­, représenteraient environ 35% de ses recettes, ce qui est important. Les revenus en nature sont principalement constitués de céréales, mais aussi de vin, et très secondairement d’autres produits comme la cire ou la laine. Les productions de ses terres et les diverses redevances en nature dues à l’hôtel-Dieu se révèlent suffisantes pour que l’établissement n’ait jamais besoin d’acheter des céréales et de la cire, et presque jamais du vin.

Chapitre II
Le soutien de la société

Les donations.  — L’hôtel-Dieu Saint-Nicolas bénéficie de nombreuses donations entre le xiiie  et le xve  siècle. Les donateurs sont en majorité des clercs, chanoines pour la plupart, qui vivent à Troyes même ou dans des localités proches. Les laïcs ne sont toutefois pas en reste, et parmi eux, ce sont principalement des notables, nobles ou bourgeois, qui se montrent généreux envers Saint-Nicolas. Les artisans et les marchands de Troyes sont également bien représentés. Parmi les donateurs de Saint-Nicolas, on repère quelques personnes qui sont des fournisseurs réguliers de l’établissement ou des artisans qui ont travaillé pour lui.

Plusieurs raisons motivent les donations qui sont faites à l’établissement. La plus souvent invoquée est la recherche du salut et l’intérêt pour les pauvres ; certains donateurs mettent en avant le fait qu’ils ont profité des soins des religieux et donnent pour que d’autres en bénéficient aussi, et pour remercier la communauté. Enfin, certains font un don pour être, en contrepartie, logé et nourri par l’hôtel-Dieu jusqu’à leur mort.

Les formes de la donation sont diverses : on trouve à la fois des donations entre vifs et des testaments. Ces actes se répartissent de façon inégale dans le temps, mais leur conservation disparate explique majoritairement ce fait. Les testaments sont toutefois beaucoup plus nombreux à partir de la deuxième moitié du xive  siècle

Les autres formes de charité.  — Les donations « officielles » ne sont pas le seul moyen à la disposition du chrétien pour aider l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas. Des troncs placés à l’entrée de l’hôtel-Dieu peuvent accueillir les offrandes des fidèles et des quêtes sont organisées par l’établissement dans les différentes églises de la ville. Enfin, certaines personnes se rendent en personne à l’hôtel-Dieu pour y remettre quelques pièces, des tonneaux de vin, etc.

Des liens de courtoisie et de service réciproques.  — L’hôtel-Dieu semble entretenir avec son entourage et ses familiers, à Troyes comme sur le plat pays, de bonnes relations. Presque tous les ans, le maître de Saint-Nicolas assiste à des noces : celles d’enfants d’artisans à son service par exemple. A cette occasion, il offre une participation pour le repas de noces. Des étrennes sont distribuées chaque année aux amis de l’hôtel-Dieu. Saint-Nicolas sait aussi aider des proches en difficulté, en leur faisant par exemple un prêt en nature ou en argent.

En retour, l’hôtel-Dieu fait l’objet de « courtoisies » de la part de la société qui l’entoure. Souvent, un artisan qui a effectué une tâche pour lui refuse de recevoir la moindre rémunération, les closiers des vignes accueillent et nourrissent parfois gracieusement les vendangeurs de l’hôtel-Dieu…


Conclusion

L’hôtel-Dieu Saint-Nicolas se révèle, par bien des aspects, semblable à la plupart des hôpitaux capitulaires de son temps, mais son lieu d’implantation, la singularité des itinéraires de certains religieux, ses relations avec la société qui l’entoure concourent à en faire un établissement spécifique. De plus, la grande richesse de ses livres de comptes permet de reconstituer son budget et d’évaluer la part des différents postes qui le composent ; documents de gestion et pièces administratives offrent ainsi une image précise de son fonctionnement.

L’étude de l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas permet ainsi de compléter la vision que l’on peut avoir des petits hôpitaux de la France de la fin du Moyen Age et de dresser avec eux d’utiles comparaisons. Elle a également cherché à dépeindre le tableau d’un établissement profondément ancré dans la ville et le plat pays environnants.


Pièces justificatives

Extrait d’un registre de délibérations capitulaires. ­ Livre de comptes pour l’année 1379-1380. ­ Inventaire des biens de l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas (1383). ­ Donation d’Isabelle, rendue à l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas.


Annexes

Liste des religieux de l’hôtel-Dieu du xiiie  au xve  siècle. ­ Les hôtes de l’hôtel-Dieu à travers les sources. ­ Le budget de l’hôtel-Dieu entre 1379 et 1390. ­ Plans et cartes : les quartiers de Troyes ; Troyes du XIII e  au xve  siècle ; Troyes au xiiie  siècle ; l’hôtel-Dieu d’après un plan de Troyes du xvie  siècle ; origines géographiques des religieux de Saint-Nicolas ; origines géographiques des salariés de Saint-Nicolas ; localisation des bâtiments que l’hôtel-Dieu possède à Troyes ; localisation des exploitations agricoles et des terres de l’hôtel-Dieu ; origines géographiques des donateurs de l’hôtel-Dieu ; localisation des biens et des revenus donnés à Saint-Nicolas ; emplacement des prébendes capitulaires sur lesquelles l’hôtel-Dieu prélève une mine de seigle.


Iconographie

Meuble destiné à recevoir les archives de l’hôtel-Dieu Saint-Nicolas. ­ Registres de délibérations capitulaires. ­ Deux exemplaires d’un même livre de comptes.