Etudes

Higman Francis M., Censorship and the Sorbonne. Genève : Droz, 1979, p. 25 et 77-79 ("Travaux d’Humanisme et Renaissance", n° CLXXII).

Karl (Louis), « Les Heures de Nostre Dame par Pierre Gringore », dans Revue du seizième Siècle, XVIII (1931), p. 352-355.

Picot (Emile), Pierre Gringore et les Comédiens italiens. Paris : Damascène Morgand et Charles Fatout, 1878, 30 p.

Note : Il est particulièrement difficile de distinguer les éditions de J. Petit, toutes non datées ; mes identifications reposent sur plusieurs indices : le relevé du titre ; la date du privilège ; la date de l’almanach ; la présence ou absence du bois controversé représentant Gringore en Christ (f. 66 dans la première édition ; illustrant « En me prestant sire Dieu tes oreilles | Veulles entendre ma plaincte et clameur ») ; la présence d’un huitain en caractères romains ou gothiques accompagnant, avant le début du texte, la planche dite "de l’homme ouvert" ; la presence des trois oraisons commençant par « Doulx Jesus o tresexcellent fruict... ».Le texte des Heures de Nostre Dame est accompagné, à partir de la deuxième édition, de Chantz royaulx, qui connaissent par ailleurs des éditions distinctes. J’ai choisi de présenter les deux textes ensemble, pour conserver la numérotation de C. Oulmont qui en fait l’oeuvre 24. Je présente d’abord les éditions des seules Heures, puis celles des Heures accompagnées des Chantz, et enfin celles des seuls Chantz. A l’intérieur de ces trois catégories, les éditions sont données dans l’ordre chronologique de leur parution.